Publié le 28 mars 2012 par Emmanuel Poirel 2
L’environnement scolaire connaît des changements accélérés depuis les années 1990, lesquels visent une meilleure efficacité du système scolaire (lutte contre le décrochage et défi de la réussite de tous). La santé des jeunes est également ciblée, notamment par des approches comme « École en santé ». Ce type d’approche commence à se déployer dans les cégeps, en raison des études qui révèlent les risques accrus de détresse psychologique chez les jeunes en transition vers la vie adulte.
Publié le 28 février 2012 par Mai Thanh Tu 3
Depuis 2005, le Québec vit un mini-baby-boom : le nombre de naissances a augmenté, notamment chez les femmes de 25 à 39 ans. Dans une grande proportion des cas, il s’agit d’une première naissance.
Les nouveaux parents ont plus que jamais accès à une gamme de ressources pour les aider à vivre la grossesse et à se préparer à l’arrivée du nouveau-né.
Publié le 24 janvier 2012 par Arlène Laliberté et Georgia Vrakas 5
Les peuples autochtones du Canada et d’ailleurs ont vécu une perte grave systématique et persistante de leur pouvoir d’agir, ce qui a de terribles conséquences sociales et des effets dévastateurs sur leur santé, comme en témoigne le nombre impressionnant d’Autochtones dans les services de longue durée, notamment les programmes de désintoxication, les hospitalisations dans les services de santé mentale, et les unités de santé mentale dans le système judiciaire.
Publié le 5 janvier 2012 par Philippe Roy 1
Pendant longtemps, la dépression a été plus particulièrement associée aux femmes. Pour certains, « les vrais hommes ne font pas de dépression ». Cette croyance est abordée dans différents programmes de promotion de la santé qui questionnent les normes masculines traditionnelles. Une campagne de publicité nationale australienne pour contrer la dépression souligne cette réalité . Les hommes plus traditionnels et rigides sur le plan des rôles de genre sont plus à risque de dépression et de suicide, et ils sont aussi plus difficiles à joindre par les services.
Publié le 24 novembre 2011 par Véronique Wilson 0
Au Québec, le plan d’action en santé mentale (PASM) 2005-2010 propose une réorganisation des services en santé mentale basée sur une hiérarchisation des soins. Cette hiérarchisation consiste à déterminer les soins offerts et les clientèles desservies par les différents prestataires de services, de même que les mécanismes de gestion des interfaces entre les niveaux de soins. Elle a pour objectif d’améliorer l’efficience du système de soins en favorisant une meilleure complémentarité entre les prestataires de services et en assurant une continuité accrue des soins entre ceux-ci.
Publié le 24 novembre 2011 par Michelle Bourgoin 0
La sémantique d’un mot a souvent un impact sur nos perceptions, nos pensées et nos croyances associées à ce mot. Contrairement à la santé physique, nous avons souvent une image de maladie ou trouble lorsque nous parlons de santé mentale. C’est pourquoi la Stratégie du mieux-être au Nouveau-Brunswick utilise le terme santé psychologique pour faire la promotion de la santé mentale.
Publié le 20 octobre 2011 par Isabelle Doré 1
La promotion de l’activité physique est au sommet des priorités de la santé publique. Il est maintenant reconnu que l’activité physique permet d’améliorer la santé globale des individus et de réduire le risque de nombreuses maladies chroniques physiques. Plus récemment, des études ont confirmé l’effet positif de l’activité physique sur la santé mentale. Des essais cliniques démontrent même l’efficacité de l’activité physique dans le traitement de la dépression. Dans une perspective de promotion de la santé mentale et de prévention des troubles mentaux courants auprès de la population en général, la pratique régulière d’activité physique serait associée à une amélioration de la qualité se vie et du bien-être psychologique, et à une réduction du niveau d’anxiété, des symptômes dépressifs, et du stress.
Publié le 21 septembre 2011 par Geneviève Cloutier et Florence Déplanche 4
Les jeunes en transition vers la vie adulte constituent une population à risque de développer des problèmes de santé mentale. Les statistiques sont frappantes, c’est dans le groupe des 15-24 ans que l’on retrouve les prévalences les plus élevées de détresse psychologique, de troubles anxieux ou dépressifs, de troubles liés à la consommation d’alcool et de drogues et de troubles de l’alimentation. De plus, le suicide est la deuxième cause de mortalité pour ce groupe d’âge. L’ampleur de ces problèmes se fait d’ailleurs sentir au sein de la population étudiante dans les établissements d’enseignement collégial. Depuis les dernières années, des démarches se font surtout dans le but de soutenir les clientèles dites émergentes qui regroupent notamment les jeunes ayant des troubles mentaux et des troubles d’apprentissage. En vue de soutenir l’ensemble des besoins de santé et le bien-être chez les jeunes, le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) et le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) publiaient en 2010, le Cadre de référence pour soutenir la collaboration entre les centres de santé et de services sociaux (CSSS) et les collèges publics du Québec.
Publié le 21 septembre 2011 par Nick Kates 0
Les services de santé mentale reconnaissent de plus en plus les rôles primordiaux exercés par les soins primaires dans la prestation de services de santé mentale dans pratiquement chaque communauté du Canada. Ils reconnaissent également l’importance d’établir des partenariats afin d’optimiser ces rôles. Une telle collaboration permet aux services d’utiliser de manière plus efficace leurs ressources respectives, d’améliorer l’accès aux services de santé mentale et de toxicomanie, de mieux coordonner les soins, et d’améliorer l’expérience des personnes qui reçoivent ou cherchent à obtenir des soins pour un problème de santé mentale ou de toxicomanie.
Publié le 24 août 2011 par Michelle Bourgoin 0
Le Nouveau-Brunswick vit une crise du mieux-être. Comme sa population était aux prises avec un taux élevé d’obésité, d’inactivité, et de tabagisme, le gouvernement du Nouveau-Brunswick créa en 2006 le ministère du Mieux-être, de la Culture et du Sport dans le but de faciliter le développement d’une culture de mieux-être dans la province.