Publié le 3 juin 2018 par Brigitte Legault 0
« Maman, j’ai tellement mal en dedans. Je veux mettre fin à mes jours, mais je n’en ai pas le courage. » Ces paroles étaient celles de notre fils. À l’époque, nous ignorions qu’il était atteint d’un trouble bipolaire, mais cela faisait déjà plus de deux ans que nous percevions que quelque chose n’allait pas.
Publié le 6 janvier 2017 par Claire Gagné 0
Il y a un an était publié le Guide Priorité Santé (GPS), un guide de pratique destiné à soutenir les soins de santé primaires. Il s’agit d’une approche reconnue par l’OMS qui inclut la promotion de la santé et du bien-être, la prévention, l’habilitation en santé et l’utilisation efficace des ressources. Le guide s’inscrit parfaitement dans une optique de santé globale, physique et mentale.
Publié le 29 octobre 2016 par Nathalie Maltais et Christine Genest 0
De nos jours, le suicide est un sujet encore difficile à aborder dans la population en général. C’est d’autant plus inconcevable quand il s’agit de considérer qu’un tel geste pourrait être commis par des enfants. À ce sujet, les données provisoires de l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) confirment que huit enfants âgés de moins de 14 ans sont décédés par suicide en 2012 et cinq en 2013. Heureusement, malgré ces statistiques, le suicide complété est plutôt rare.
Publié le 23 décembre 2013 par Claire Page 2
En 2011, cinq constituantes du réseau de l’Université du Québec (UQ) démarraient une maîtrise en sciences infirmières en santé mentale et soins psychiatriques. À l’instar des infirmières praticiennes spécialisées en soins de première ligne ou dans d’autres spécialités, le rôle d’infirmière praticienne en santé mentale et psychiatrie (IPS-SM/PSY) allait de soi. Malheureusement, celui-ci était bien loin d’être ficelé dans les instances ministérielles et encore moins dans les plans de nos collègues psychiatres. Les questions épineuses concernant le type d’infirmières à privilégier se sont succédées, à savoir si le titre d’infirmière clinicienne spécialisée devait être créé à défaut de pouvoir espérer le développement du rôle d’IPS-SM/PSY, ou si ni l’un ni l’autre n’allait voir le jour en raison de la confusion qui entourait ces catégories d’emploi.
Publié le 30 mai 2013 par Dominique Harvey et Lise Laberge 2
Dans son éditorial de mars 2013, la présidente de l’OIIQ, Mme Lucie Tremblay, soulignait la force indéniable que représentent les quelque 72 000 infirmières du Québec et les invitait à créer une synergie entre elles et avec les collègues du réseau pour changer le système de santé. « En tant que professionnels, nous devons faire valoir notre expertise et la mettre à profit pour que la population ait accès à des soins de qualité », mentionnait-elle. En santé mentale et en psychiatrie, elles sont plus de 4000 à œuvrer dans toutes les structures du système de santé. En exerçant leur leadership, elles peuvent contribuer à mieux répondre aux besoins toujours plus complexes de la population.