Publié le 3 décembre 2017 par Ahmed Jérôme Romain 0
Tout d’abord, il est important de noter que les personnes ayant un trouble de l’humeur (p. ex., le trouble bipolaire) connaissent toujours une surmortalité précoce de 15 à 25 ans par rapport à la population générale. Si les suicides occupent une part certaine de cette surmortalité, les maladies respiratoires, cardiovasculaires et leurs complications en représentent une part considérable (jusqu’à 69 %). Ces maladies ont souvent un point de départ commun : l’obésité.
Publié le 30 janvier 2014 par Dan Bilsker 2
Dans un article publié dans un précédent numéro de Quintessence, j’ai écrit sur le Soutien à l’autogestion (SAG) des troubles de l’humeur, une approche qui s’avère être d’une efficacité surprenante, malgré sa facilité d’implantation et les coûts minimes qu’elle engendre. Le SAG préconise l’enseignement aux patients de méthodes fondées sur des données probantes afin que ces derniers puissent gérer plus efficacement leur dépression. Ils obtiennent sans frais le Guide d’autosoins pour la dépression, en plus d’avoir accès au soutien d’un professionnel de la santé, d’un travailleur d’entraide ou d’un membre de leur famille. Les techniques enseignées dans ce guide sont basées sur la thérapie cognitivo-comportementale.
Publié le 4 juillet 2011 par Dan Bilsker 4
L’autogestion des soins en cas de problèmes de l’humeur est une forme d’intervention dans laquelle : on fournit aux individus en détresse des cahiers d’exercices ou des sites Web conçus de manière à leur enseigner des habiletés comportementales qui permettent d’autogérer leur humeur; et un professionnel de la santé ou un autre intervenant joue le rôle de guide pour les aider à apprendre et à appliquer les habiletés nécessaires à l’autogestion de l’humeur.
Ce type d’intervention présente un degré impressionnant d’efficacité dans les cas de problèmes courants de santé mentale d’intensité légère à modérée.